Les plus pauvres sont l’artère par laquelle il faut que le sang coule pour irriguer tout le corps. Si l’artère est obstruée, le corps tout entier meurt. Pour l’Eglise, c’est une question de vie ou de mort. Si la grâce passe par eux, tout est irrigué

Père Joseph Wrésinski — Parole de sages

Le sappel

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Nuit d'adoration du jeudi 3 septembre

Voici ce beau texte sur la faiblesse :

Oui l'important pour vous est de banir toute inquiètude dans vos rapports avec Dieu.

Laissez-vous à lui bien simplement comme un enfant dans les bras de son père.

Cela ne veut pas dire qu'il ne faille pas dire sans cesse  « je suis un serviteur inutile », à coté de son infinie grandeur et de son infinie bonté, sans en être triste, mais en trouvant très doux de vous savoir faible...

Et puisque vous n'êtes que faiblesse par vous même, ne savoir que le Christ en vous, le Christ qui prie en vous, le Christ qui agit en vous, qui pense et sent en vous.

Votre misère, prise par lui, devient adoration agréée et aimée du Père : la vie du Christ en vous, voilà quel doit être votre tout.

 

Albert PEYRIGUERE ( 1883-1959), disciple de Charles de Foucauld, ermite au Maroc

 

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Dans la nuit, du jeudi au premier vendredi de chaque mois, nous sommes invités à prier une heure en communion les uns avec les autres.

Nous contemplons le Christ à travers le visage de tous ceux auxquels II a voulu s'identifier (Mathieu 25:31-46)

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